Isabelle Pasquier-Eichenberger
Candidate au Conseil national
En bref
Géographe, 50 ans, j’habite à Carouge avec mes filles. Elue au Conseil national en 2019, je me consacre au travail parlementaire et à mes engagements associatifs (vice-présidente des Vert·e·s. suisses et de l’ATE, membre du comité de l’Initiative des Alpes et experte à la FRC, etc.). Je m’engage pour une agriculture durable, une mobilité décarbonée et partagée, une société solidaire et équitable.
Les quatre prochaines années seront décisives pour le climat et la biodiversité. La Suisse a les cartes en mains pour agir : une population consciente des enjeux, un territoire alpin particulièrement vulnérable au réchauffement, les capacités et les moyens pour réussir sa transition. C’est la volonté politique qui manque. Forte des compétences acquises et des réseaux tissés, je me représente avec la conviction de pouvoir poursuivre, avec mes collègues vert·e·s, le travail engagé :
Pour le climat. Au sein de la Commission des transports et des télécommunications, je suis active pour promouvoir la sobriété des transports motorisés et aériens, ainsi que pour renforcer les alternatives, allant de la mobilité active jusqu’au développement de liaisons ferroviaires vers les centres européens. Durant la prochaine législature se décideront les programmes et les crédits. Je m’investirai pour renforcer les infrastructures dans l’arc lémanique. Des alternatives fiables et attrayantes sont essentielles pour assurer la transition écologique de notre mobilité.
Pour les droits humains. En tant que Genevoise, c’est dans mon ADN de défendre les droits humains et l’engagement pour la paix. Au cours de cette législature, j’ai travaillé avec les milieux associatifs pour améliorer les conditions d’accueil, humaniser la politique d’asile et soutenir les migrant·e·s.
Pour la démocratie et le vivre ensemble. Je milite pour une politique qui renforce les médias indépendants, un soutien crucial pour les minorités linguistiques. Alors que le nouveau chef du département est ouvertement contre les médias de service public, cet enjeu sera déterminant dans la prochaine législature. Mon travail au sein des Commissions de gestion va aussi dans ce sens : renforcer la crédibilité de nos institutions grâce à des enquêtes touchant toutes les politiques et institutions publiques. C’est vital pour la démocratie.
Je vous remercie pour votre soutien et votre confiance – mon carburant, que j’espère durable !
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