Les Vert·e·s genevois·e·s ont présenté le 21 avril 2021 une étude scientifique réalisée par l’ONG Noé21 qui doit ouvrir un débat nécessaire sur l’avenir de l’aéroport de Genève (AIG) et son impact sur la santé et la préservation du climat. Nous vous invitons à découvrir cette étude directement en ligne ainsi que le communiqué de presse envoyé à cette occasion ICI

Découvrez ci-dessous la partie du programme des Vert·e·s genevois·e·s dédiée à la lutte contre les pollutions

Pour lutter contre l’air pollué, le bruit, la pollution lumineuse

  • Faire adopter l’initiative populaire « De l’air, moins de bruit. Préservons notre santé face à la pollution », puis assurer sa mise en oeuvre
  • Procéder à des analyses bactériologiques et chimiques régulières pour assurer la qualité de l’eau des cours d’eau et des nappes phréatiques
  • Surveiller et limiter l’usage des perturbateurs endocriniens et des nanoparticules
  • Renforcer la capacité de la Cour des comptes à faire des audits des politiques publiques environnementales
  • Augmenter le nombre de «corridors noirs» sur le canton, en éteignant ou diminuant l’éclairage public de certains secteurs
  • Tenir compte de cette problématique dans les plans d’aménagement du territoire et dans les plans lumière communaux
  • Sensibiliser la population, les entreprises et les administrations à une utilisation rationnelle de la lumière

Pour réduire les émissions de l’aéroport, important générateur de pollution de l’air et du bruit

  • Adopter l’initiative populaire « Pour un pilotage démocratique de l’aéroport », puis assurer sa mise en oeuvre
  • Assurer à Genève un aéroport à taille humaine qui serve Genève et ses habitant- e-s et refuser le projet d’aéroport à 25 millions de passagers-ères annuel-e-s, soit 1 vol toutes les 90 secondes
  • Renforcer la consultation et l’intégration dans les processus de décision liés à l’aéroport des associations environnementales et de riverain-e-s qui s’investissent pour une limitation des nuisances engendrées par l’aéroport de Genève
  • Limiter l’augmentation des vols de courte et moyenne distance, en fonction des compétences de l’État face à la Confédération