Candidat au Conseil national

En bref

Carouge, 56 ans, Conseiller national, Vice-président des Vert.e.s suisses, ancien Maire de Carouge. Président de la Fédération genevoise des EMS et de ZeroWasteSwitzerland. Membre de ProSenectute, du Mouvement européen suisse, du festival de cinéma FILMAR… Je m’engage pour une Suisse inclusive, progressiste et verte défendant avec détermination le droit international, la solidarité et la paix.

Grâce à vous qui m’avez élu au Conseil national en 2019, j’ai pu renouer avec mon intérêt marqué pour les affaires internationales. Celui qui m’a nourri tout au long de ma jeunesse au Grand-Saconnex et qui m’avait poussé, à 25 ans, à m’engager au CICR.

Que ce soit à Berne dans les commissions de politique extérieure et des affaires juridiques ou au sein des délégations auprès de la Francophonie et de l’AELE/UE, je défends une posture courageuse et généreuse de la Suisse dans la lutte contre le changement climatique et en faveur de la coopération internationale, des droits humains, de la paix et de la démocratie partout dans le monde: en Ukraine bien sûr, mais aussi en Iran ou au Tibet.

Européen convaincu, je milite pour le renforcement de nos liens avec l’UE et je soutiens des politiques économiques et fiscales solidaires et durables. Ces convictions m’ont entre autres poussé à combattre et dénoncer  les accords de libre-échange avec l’Indonésie et la Chine.

Convaincu de l’importance de la collaboration internationale, je défends un engagement fort de la Confédération pour le rayonnement de la Genève internationale et son extraordinaire tissu d’ONGs.

Mon combat pour la justice passe aussi par l’adaptation de lois qui ne répondent plus aux attentes: je défends ainsi l’introduction d’une justice restaurative et d’une protection pour les lanceurs d’alerte, et travaille au durcissement  de la lutte contre le blanchiment d’argent et les fonds illicites.

Je m’engage bien sûr pour l’égalité et les droits de toutes les minorités, dont les personnes LGBTIQ+. Après les succès du mariage pour toutes et tous et du changement de genre facilité, d’autres défis nous attendent pour rendre la Suisse moins patriarcale: interdiction des thérapies de conversion, facilitation de l’adoption de l’enfant du conjoint, introduction d’un genre neutre et d’un congé parental…

Conscient des enjeux et des priorités, c’est rempli d’énergie que je souhaite continuer d’œuvrer à Berne en faveur d’une Suisse progressiste et verte, ancrée en Europe et ouverte sur le monde.