Votation du 24 novembre · Revue de presse
Vous trouverez ci-dessous les différentes apparitions médiatiques des Vert·e·s genevois·es suite aux résultats de la votation du dimanche 24 novembre 2024.
Maryam Yunus Ebener
Présidente des Vert·e·s genevois·es
Marjorie de Chastonay
Députée au Grand ConseilLéman Bleu · Journée votations du 22 septembre 2024
Émission spéciale pour cette journée de votations, présentée par Jérémy Seydoux, avec la présidente des Vert·e·s genevois·es Maryam Yunus Ebener :
« Dire que les prestations sociales ne seront pas affectées par cette baisse d’impôts ? C’est faux ! Certaines communes, qui fournissent des prestations sociales, verront leurs budgets lourdement grevés par cette baisse qui leur a été imposée par le Canton. » Maryam Yunus Ebener
« On est satisfait de la préservation des droits des locataires. Le vote de la population est une réaction à la hausse des loyers et à la crise du logement. Quand on touche au logement, il est normal que la population réagisse. » Marjorie de Chastonay
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David Martin
député vert au Grand Conseil et chef de groupeTribune de Genève · À Genève, pas de droits accrus aux propriétaires pour contrer l’urbanisation
La gauche, l’Asloca et les syndicats ont lancé un référendum contre ce contre-projet, un compromis ficelé au Grand Conseil par la majorité de droite. Ils se félicitaient du résultat dimanche dans les travées de l’Hôtel de Ville.
« Cela montre que personne n’a cru à l’argument selon lequel ce changement aurait augmenté la démocratie. Les gens ont compris que si on renforce la position des propriétaires privés, on ne tend pas vers l’intérêt général, celui des voisins ou des locataires » fait valoir le député écologiste David Martin.
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Lisa Mazzone
Présidente des Vert·e·s suissesLe Temps · Autoroutes: comment la droite a perdu une votation a priori imperdable
La population a rejeté le paquet autoroutier pourtant soutenu par le Conseil fédéral et la majorité du parlement. La victoire est retentissante pour la gauche, mais elle a été aidée par une campagne du camp bourgeois qui a raté sa cible
Au stamm des opposants, installé à la Grosse Schanze, un café niché au-dessus de la gare de Berne, l’analyse est tout autre. La présidente des Vert·e·s suisses, Lisa Mazzone parle de victoire historique de la gauche. «C’est une sensation», se félicite la Genevoise. A ses yeux, ce succès représente «une revanche» après le recul écologiste des élections fédérales. «Nous démontrons notre droit de veto sur les questions environnementales, souligne-t-elle. Nous prouvons que non seulement nous pouvons lancer des référendums, mais que nous sommes capables de les gagner».
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Delphine Klopfenstein Broggini
Conseillère nationale VerteTribune de Genève · La gifle aux routes oblige la Suisse à repenser sa mobilité
Mais les Verts ont encore une autre idée en tête: revoir les modalités de FORTA, le fonds routier. Déjà la façon de l’alimenter. « Il faudrait une redevance en fonction du poids et de la consommation des véhicules, détaille Delphine Klopfenstein Borggini (Verts/GE). Mais aussi dans sa distribution. Davantage d’argent doit aller au développement des transports publics dans les villes et les villages. Et il faut investir dans l’assainissement des autoroutes existantes, en particulier pour la protection contre le bruit. »
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Emilie Fernandez
Présidente des Vert·e·s de Lancy et députéeLa Commune a dit oui à «Zéro pub» par 51,31% des voix. Une première en Suisse après le refus en ville de Genève de 2023.
« Je ne m’y attendais vraiment pas, sourit Emilie Fernandez, présidente des Verts de Lancy. Cette votation, c’était David contre Goliath. Les référendaires avaient des moyens énormes et les afficheurs avec eux. Mais nous avons mené une campagne de terrain, nous sommes allés expliquer les enjeux de cette votation à la population, et cela a payé. »
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Lisa Mazzone
Présidente des Vert·e·s suissesAutoroute : près de 53% de NON aux extensions
« La discussion selon laquelle « plus de routes va résoudre les problèmes de mobilité » ne fonctionne plus. Les expert·e·s scientifiques et la population appellent désormais à des solutions efficaces pour des transports publics accessibles. » – Lisa Mazzone (présidente des Vert·e·s suisses)
Lisa Mazzone
Présidente des Vert·e·s suissesLisa Mazzone et Albert Rösti: les destins croisés
La campagne sur les autoroutes a été marquée par un duel de personnalités. Le refus confirme autant le retour au premier plan de la présidente des Vert·e·s suisses qu’il inflige un coup de frein à la marche en avant du conseiller fédéral UDC
(…) Le conseiller national vert Raphaël Mahaim en est persuadé, dorénavant, «Lisa Mazzone, avec le parti derrière elle, s’impose comme la figure d’opposition à un Conseil fédéral qui mène la politique la plus à droite de l’histoire récente». Le Vaudois relève que ce retour remonte à plus loin que la seule période de campagne. «C’est une bosseuse acharnée, elle s’est engagée à fond dès sa candidature à la présidence du parti, ce qui n’était pas forcément facile après la désillusion des fédérales. Cela démontre une sacrée force de caractère», souligne-t-il, admiratif.
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Julien Nicolet-dit-Félix
Député vert au Grand ConseilLa population veut garder la maîtrise des tarifs des TPG
Avec près de 70% des voix, les Genevois refusent de rendre au Conseil d’État et aux TPG la compétence tarifaire.
Le député Vert Julien Nicolet-dit-Félix dénonce au contraire un double discours: «On a tout entendu et son contraire. En commission, le PS a proposé un amendement qui aurait permis aux TPG de faire des promotions et des offres sans augmenter les tarifs, mais il a été refusé, ce qui prouve le double discours des partisans de la réforme. D’ailleurs, certains ne se sont pas cachés qu’ils souhaitaient des tarifs plus élevés.» Selon ce député, «rien n’empêche de revenir devant le Grand Conseil avec cet amendement».
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