Par Isabelle Pasquier-Eichenberger, députée et candidate au Conseil National. Courrier de lecteurs paru dans la Tribune de Genève le 2 octobre 2019.

Jeudi soir, les nuages ont en partie masqué les étoiles, mais les promeneurs étaient nombreux à arpenter les parcs et les routes, à observer et partager leur étonnement en découvrant sous un angle nouveau leur environnement proche. Cette extinction partielle a permis de thématiser un impact souvient insoupçonné de notre consommation lumineuse sur la petite faune. Alors que la biodiversité est fortement menacée, il est salutaire d’expérimenter qu’un pratique simple, telle que la modération de l’éclairage, qui n’implique pas de privation mais des adaptations, peut permettre de réduire notre impact sur l’environnement.

L’urgence climatique indique clairement qu’il faut diminuer les émissions polluantes et modifier nos habitudes. Cette soirée a permis de montrer qu’on peut réduire notre empreinte et gagner en convivialité et en qualité de vie !