Candidat au Grand Conseil

En bref

Veyrier, 54 ans, rédacteur publicitaire puis entrepreneur dans l’événementiel, conseiller municipal, je m’engage en faveur d’une consommation et d’une économie plus locales, durables et solidaires. Je m’engage aussi en faveur d’une politique d’asile cantonale conforme aux droits fondamentaux.

En 1986, quand je terminais mes études secondaires, on ne parlait pas encore de réchauffement climatique. Bien plus tard lorsqu’il en a été question, la prise de conscience de l’urgence climatique à été, pour moi aussi, un choc et une remise en question.

J’ai alors rejoint les verts pour m’engager en faveur des solutions concrètes qui existent, et que rassemble aujourd’hui notre programme de législature.

Être vert, pour moi c’est une question d’ouverture d’esprit. C’est accepter d’entendre les alertes des scientifiques, et vouloir y répondre par des solutions adaptées. Ça va au-delà d’un engagement politique classique, car nos conditions de vie sont en jeu. C’est porter un message essentiel pour lequel l’ensemble des canaux de communication doivent être mobilisés: enseignement, information aux citoyens, aux consommateurs, action politique, etc…

Interview

  • Ton meilleur souvenir à Genève ?

Les premières campagnes de communication auxquelles j’ai participé et mes textes affichés qui se baladaient dans les rues.

  • Pourquoi défendre les idées vertes au Grand Conseil ?

Pour répondre à « l’urgence climatique » – décrétée en 2019 à Genève – et redonner aux genevois confiance en l’avenir !

  • Le sujet/axe du programme sur lequel tu souhaites t’investir au Grand Conseil ?

Pour que Genève atteigne les objectifs de son plan climat : « – 60% de CO2 d’ici 2030 et la neutralité carbone d’ici 2050 » !

  • Quel est ton expression favorite ?

Ne remettons pas à demain ce qu’on doit faire aujourd’hui !