Candidate au Grand Conseil

En bref

Ville de Genève, 30 ans, actuellement à la recherche d’un emploi porteur de sens, je suis députée au Grand conseil depuis 2020, et membre du MAPC, de L214 et du SIT. Je m’engage pour l’éthique animale, pour une agriculture écologique et respectueuse du vivant et pour la redistribution des richesses, indissociables du combat environnemental.

Le Grand Conseil est un théâtre qui ne ressemble qu’à lui-même. Après deux ans dans cette arène, j’ai le sentiment d’avoir à peine effleuré les possibilités qu’elle offre pour changer notre société. Je souhaite donc pouvoir effectuer un second mandat et approfondir les connaissances acquises durant ces deux années pour les mettre au service de l’écologie et de la justice sociale. Tout cela, évidemment, en apportant une touche personnelle.

La politique suisse demande d’être en permanence interrogée pour s’améliorer et accélérée quand il est question de la survie des espèces aussi bien humaine qu’animales et végétales. Je continuerai à poser les questions qui font mal, celles qui dérangent, celles que l’on ne veut pas poser, pour autant que celles-ci puissent nous aider à changer notre mode de relation à l’altérité, l’autre, l’animal, le monde naturel. On dit qu’il vaut mieux demander pardon que permission. Je vous demande aujourd’hui la permission de faire de la politique autrement et de vous représenter.

Interview 

  • Avec le RBI (Revenu de Base Inconditionnel), tu ferais quoi ?

Écrire un livre, jouer la comédie, apprendre la langue des signes, bénévolat et militantisme encore et toujours.

  • Le sujet/axe du programme sur lequel tu souhaites t’investir au Grand Conseil ?

La justice sociale – on ne peut résoudre la crise climatique sans – et l’éthique animale, of course.

  • Si tu pouvais avoir un super pouvoir, lequel serait-il ?

La téléportation ! Pour être partout à la fois, c’est indispensable !

  • Quel sera le défi de la prochaine législature ?

Mettre en lumière les mensonges et aberrations du greenwashing, du capitalisme vert et autres positions molles sur l’écologie.