Par Nicolas Walder, président des Vert.e.s genevois.e.s

Chère Delphine,

Les Vert.e.s genevois.e.s peuvent te dire un grand merci pour ton enthousiasme et ton investissement au service de notre parti durant ces huit années que tu auras passées au secrétariat général.

Notre parti peut t’être reconnaissant pour ton engagement et ta force de travail. En tant que responsable de campagnes et de communication puis secrétaire et co-secrétaire générale, tu n’as jamais compté tes heures et ton implication dans le parti. Mais c’est surtout grâce à ton intelligence et ton professionnalisme que notre parti aura ces dernières années pu compter sur un secrétariat toujours capable de proposer des solutions et porter des actions fortes, y compris durant les années de « vaches maigres ». Le duo que tu formais jusqu’à récemment avec Léo était à cet effet d’une efficacité redoutable !

Si on te doit une fière chandelle, c’est aussi parce que tu auras, par tes choix, tes propositions et tes convictions, su imprimer une image moderne et progressiste de notre parti.

En tant que président, cher Delphine, ça aura été un vrai plaisir de collaborer avec toi. Je peux dire sans trop m’avancer qu’en huit ans, tu auras largement participé à amener les Vert.e.s genevois.e.s vers le succès qu’ils ont connu au soir du 20 octobre 2019.

Alors aujourd’hui, pour paraphraser nos cousins socialistes au soir des élections fédérales, j’ai un œil qui rit et l’autre qui pleure. Car si je perds une extraordinaire co-secrétaire générale, je gagne une fantastique collègue avec qui je suis très heureux désormais de siéger au Palais fédéral.